Et en attendant…

Alors en attendant de me motiver pour (trouver enfin un layout et) raconter les mille choses importantes de la vie comme: le meilleur garagiste de la ville, l’ouverture de la Freibad pile pour les Saints de Glace, nos semis frénétiques dans l’esprit Murphy’s Law en attendant qu’un nouvel appart’ nous tombe dessus par magie, les aléas lunaires des lundis maudits, l’obsolescence programmée de mon téléphone qui n’a que quatre ans mais montre déjà des signes évidents et inéluctables de dégénérescence, je remets le lien sur: Et avant..? (CLICK).

De l’accoutumance.

“Oh là, cela s’est drôlement réchauffé!” me disé-je au point du jour, en sortant la poubelle. Il fait bon ; 8°C peut-être?
Coup d’oeil sur le thermomètre.
Il fait 3°C. Comme quoi, on s’habitue. Pas besoin de bonnet, ce matin.

Du positivisme

L’équilibre est-il atteint, entre bonnes et mauvaises nouvelles? Hier, la lettre d’admission en maternelle, on n’a pas notre choix, et non Le Corbeau n’ira pas dans la super maternelle bilingue à deux pas de Raban, mais sur la colline aux gibets: c’est loin, ça monte. Hier, devis pour les réparations de Mister Wilde, sept cent euros pour passer le contrôle technique: pas mieux que le concessionnaire.

Et aujourd’hui? Ah, peut-être – peut-être – qu’on peut aller pleurer à la mairie. Et finalement, le four de Fritz est au gaz, donc ça n’aurait pas marché chez nous – et puis les prolos videurs de maisons l’ont laissé. Quant au (quatrième) garage dans lequel j’ai amené Mister Wilde, il m’établit un devis dans les quatre-cent euros… Ben voilà!

…il ne me reste plus qu’à aller courir – cela fait dix jours que je procrastine. Next step.

Du respect

On n’entend plus rien – les types sont partis. Loin de moi l’idée de vouloir porter des jugements de classe, cependant ça fait vraiment prolo de balancer ses mégots ici et là dans la courette – surtout qu’il y a un cendrier sur les boîtes aux lettres…

Des opportunités

Bien bien bien, c’est fait, notre maison de quatre appartements se vide. Fritz, le locataire petit-bourgeois du deuxième est parti fin août, les proprios du premier ont également débarrassé leur appartement en laissant tout un tas de bricoles et requis pour ce matin les services d’une entreprise qui vide les appartements. Bien bien bien. L’occasion donc d’y faire un tour avant. Et de récupérer des trucs inutiles comme des assiettes en plastique, un parapluie, de vieilles clefs, deux-trois vinyles. Sauf que. Depuis que Frodon (voir La Roue de Secours) a tué mon four en faisant des pizzas (maintenant il chauffe à fond pendant dix minutes, hop la sécurité saute et il s’arrête), ben on n’a plus vraiment de four. L’occasion eût été rêvée de récupérer un four chez Fritz, non?

..

…..et bien moi je prends de vieilles clefs à la place.

Pff.